Vos poèmes

aussi

~~~~Un monde sans toi~~~~

Un monde sans toi
Ca n'existe pas
Car tu seras toujours à mes côter
Et cela pour m'aimer

Si tu n'étais pas là
Que ferais-je sans toi?
Je serais tellement triste
Que ce monde me semblerait sinistre

A tes côtés
Tous le temps je me trouverai
C'est impossible pour moi
De me passer de toi

~~~~Kévin janssens~~~~

Pour élodie

Le sort

Il se meurt
et je n'ai pas la faveur
d'avoir un sauveur
qui puisse réparer se coeur

Car: - il s'estbrisé
il s'est déchiré
il s'est cassé
il a été broyer.

ici est mort
mon coeur
s'était son sort
son unique demeur étant la mort

puis transformer en fleur
il s'est fané
avec de cueieuse couleurs
et s'est décomposé

Ce corps
a tout jamais mort
et cette fleur fanée
qui s'est décomposer

c'est moi!
sans foi, ni loi


ps: ne pas comprendre ce méssage
car n'étant pas sage
je veux qu'il ne reste qu'un mirage
ou une simple image.....


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fine lune

~~~~Le jour et la nuit~~~~~

Le jour,
Mon amour,
La nuit ,
Ma chérie

Le jour tu es venue
Avec une robe, tu es vêtue
Si belle tu es ma chérie,
Plus belle encore, tu es la nuit.

Un jour j'espère tu viendras,
Car je t'acceuil dans mes bras.
Tu y seras chaudement blotie,
Et ca toute la nuit.

~~~~Kévin Janssens~~~~

Pour élodie

Oki un poeme.... hum hum...


L'incertitude, la solitude
chez moi était une habitude

Tu m'as donner l'espoir
tous les soir

j'ai peur que tu ne me laisse
car tu ne pourais immaginer ma détresse.

Et aussitot l'amertune
sera redevenu coutume

Et la tristesse
sera redevenu maitresse

On garde toujours
le souvenir de son premier amour

Ne te moques pas
si je te dis que la nuit j'entand tes pas

Je garde en souvenir
ce merveilleux souvenir

Et je ne pourais jamais oublier
ces douce soirées

Je ne puis tout te dévoiler
sinon tu connaitrais toutes mes penser.

Moi aussi je me lance dans la production de poème...

Dans ce paradis
Parsemé d'arbre gris
Je vais ici et là
Seulement pour être avec toi

Quand je ne trouve pas de parapluie
C'est mieux comme ca
Parce que c'est comme si tu étais là
Parmis la pluie

Voilà!

une autre... une autre... une autre... une autre... une autre... une autre...

Je me sens esseulée
dans la nuit étoilée
Sans toi
pres de moi

La vie ne peut existé
sans que la continuité
de tout les jours passé

Les jours de bonheur
qui est a votre coeur
le plus chere
qu'ils soit ami, oncle, ou mere

rien ne peut remplacer
les etre que vous aimer
surtout ceux qui vous ont quitter
pour le ciel étoiler

Car la vie sans amis
est une vie dans l'agonie
ou est impossible "la survi"
ou tout est monotonie

c'est pourquoi l'amitier
est tant rechercher
pourquoi dans notre sociéter
exist'il des inanimer...

Je n'ai pas su t'ecouter
Et tu m'as quittee
Ce matin, ton lit n'etait pas defait
Je t'ai cherchee, je t'ai trouvee

Une corde serree
Remplacait ton collier
Pourquoi n'ai-je pas su ouvrir les portes
De mon coeur, de mon ame, pour toi

Ce matin, sous notre toit,
J'ai compris vraiment ce qui importe...
C'est la vie, c'est l'amour,
Une famille unie pour toujours

C'est ta lettre qui me l'a appris
Mais c'est trop tard, tu es partie
Mes larmes ne pourront jamais remplacer
Une soeur que j'avais adoree en secret.

Fine Lune a écrit:

(( élodie c'est mon nom ))

LOL!!!!!

Link a écrit:

Fine Lune a écrit:

(( élodie c'est mon nom ))

LOL!!!!!

mdr dsl je savais pas

Assassin...

Surgissant des épaisses ténebres de la nuit,
Dans ton dos vulnérable je me suis approché...
Félin, je marchais sans un bruit,
Dégaînant la lame qui allait t'éventrer.

Tu marchais insouciant, perdu dans tes pensées,
Sans douter un instant de ta sécurité...
Bien sur, innocent, tu n'imaginais pas
Qu'un ennemi implacable allait s'en prendre à toi.

Ce n'est qu'en éprouvant mon haleine bien chaude,
Répandant sur ta nuque une tièdeur suspecte,
Qu'enfin tu as deviné ma présence maraude,
Et que tu t'es senti plus faible qu'un insecte.

Te retournant tremblant tu as dis: "Qui va la ?"
Et je t'ai répondu: "La mort, qui vient pour toi !"
Ponctuant mes paroles d'un coup sec et précis,
J'enfonçais ma lame dans tes chairs arrondies.

Profitant du spectacle de tes yeux terrifiés,
J'achevai mon travail d'un mouvement calculé...
L'acier fendant ton ventre fit tomber tes boyaux,
Qui finirent leur course dans l'eau du caniveau.

Froid comme la mort, je te regardai glisser,
Tentant, au désespoir, de retenir la vie,
S'échappant si vite de ton corps à l'agonie.
Puis là, tombant à genoux, tu voulus crier...

Seul un râle s'échappa de ta gorge rebelle
M'évoquant des musiques délicieuses et belles.
Mon travail achevé je tournai là le dos
Te laissant dans ton sang baignant le caniveau...

Je t'aime,
Et mes larmes
sont des armes
dérisoires
qui crient espoir !

Je t'aime.

C'est à moi qu'elle parle celle là ?

Je me lance :


Je marchais sans but
Quand je suis tomber sur quelqu'un
Un amour que je ne savais
Que j'aimerais toujours

A tes pas
Si froid
Tu m'a dit tout bas

Quand je t'ai regardé
J'ai appris a aimer
Je ne sais pas si je te plait mais
Sans toi la vie serais un enfer dans un coeur encors brulants de douleur

Corbo a écrit:

C'est à moi qu'elle parle celle là ?

Euh... ben ... pas vraiment en fait Je vous connais pas assez monsieur pour vous parler ainsi. Et à vrai dire votre poème ne m'y incite guère. Sans vous vexer .

alors elle parle de moa!!!!!

Laurina a écrit:

Corbo a écrit:

C'est à moi qu'elle parle celle là ?

Euh... ben ... pas vraiment en fait Je vous connais pas assez monsieur pour vous parler ainsi. Et à vrai dire votre poème ne m'y incite guère. Sans vous vexer .

Vous ne me vexez nullement, mademoiselle,
Mais je vous prie de croire... que mon "poème"
Ne reflète pas tant ma nature réelle,
Car voyez vous moi aussi... j'aime !

Ou est la folie?

Parfois je suis folle
et je décolle
pour une planete
toujours en fete

Puis j'atérie
s'est la vie
sur cette terre
amére et sévére

C'est alors
seulement quand je dort
que je me pose des questions
sans aucune raisons

je voudrais me sentir bien
mais autour de moi il n'y a rien
il n'y a pas d'amour
et il n'existe pas de jour

il n'y a pas de douceur
et les gens n'ont pas de coeur
Mais ce qui est le plus grave
c'est qu'ils vivent comme des épaves

ces locs humaines
jamais ne se promene!
entre eux rien n'existe
car ils sont trop égoïste.

Et moi je reve
que le jour se leve
sur eux
et enfin voir leurs yeux.

Car ceux ci
serais éblouie
en regardant la vie
la VRAI vie

Mais ils vont s'en lasser
et le jour sera éffacé
et ces débuts de sourire
vont a nouveau mourrir

ils vont recréer
leurs vie préocupées
isl reprendront leur vie
et aimeront leurs soucis

Ils n'ont pas su
ni meme voulu
que cette éclaircie
illumine leurs vie!

Comment les aider
puisqu'ils ne savent pas imaginer
un monde autrement qu'isoler
et abandonner

Ciomment peuvent t'ils exister
a ce moment, je vaus me réveiller
Mais hélas je n'est pas rêver
car c'est bien notre sociéter.

Corbo, J'ADORE ton poème...trop trop trop comment dire, il n'y a pas de mot j'adore!

Et bien merci...

> J'essaierai d'en refaire à l'occase !

~~Désarmée et deséspérée~~

Dans un souffle je dit
Au secours mon amis
Perdu, j'ai peur de tout
Perdu, je le cherche partout...

Il ne m'a aimé une seule fois
Je n'ais jamais entendus sa voix
A croir qui ne savais décrocher un mot
Ou qui se foutais de mes maux...

Au secour
Aide moi a lui prouver mon amour
Qui est plus fort de jour en jour !

Pourtant j'ai essayer
Mainte fois de lui prouver
Mais son coeur n'ais ouvert
Qu'a Adeline...

Moi, tu ne m'aime pas
Tu regarde d'abord la beauté
Mais l'enterrieure tu ne fais que le feulleté...

Mais si tu avais mieux regardé en moi,
tu aurais trouver le plus beau des trésor...

Pour mon amour,
Julien,
Que j'aime toujour...
De ta Eve qui ne veux que ton amour...

~~~


Votre avis ?

Cannibale...

(Dédicace à Kalias ! )

J'ai suspendu ton corps, par les pieds,
A la branche d'un vieil arbre calciné...
Une fente verticale, dans ton ventre, j'ai pratiqué,
Et tes trippes, au sol, se sont vidées.

Dans la terre meuble, un beau trou j'ai creusé;
Que j'ai rempli de bois sec et de bûches taillées,
Avec amour et tendresse, l'ensemble ai-je embrasé,
Ma bave au coin des lèvres commençant à couler.

Alors, vers ton corps, je m'en suis retourné,
Délicatement, de sa branche, je l'ai décroché;
Et j'ai saisi mes lames pour les aiguiser,
Puis un par un tes membres je les ai désossés.

Ma préparation laborieusement parachevée,
J'ai farci ton corps d'herbes, et puis je l'ai beurré...
A présent tu cuis tranquille, sur mon brasier,
Dans peu de temps je n'aurais plus... qu'à déguster !

Wow!

Super !!!!
J'adore !!!!!

~~La tragédie de hier soir~~

Je courais toujours plus loin
Espérent connaître un lien
Entre la tragédie de hier soir
Et de l'énorme fardeau qu'il va faloir
Porté sans rien savoir
De la tragédie de hier soir...

Je me promène
Dans se long couloir de platre
Qui a servis de théâtre
A la tragédie de hier soir...

Mais pourquoi est tu partis
Quand je t'ais dis
Mon amour,
Je t'aime a la folie
Rien ne pourra jamais nous séparer
Toi et moi c'est pour la vie !

Tu es sortit en claquant la porte dérrière toi
Tu es aller dans se famuex couloir,
Tu a pris un couteau et tu te l'ais enfoncé dans le coeur...
Depuis le mien brule de douleur...

Magnifique ton poème Vidéa mystique

Moi ?!? J'ai fais un beau poème ?!?