Vos poèmes

bravo

De ce spectacle je me délecte
Et te réponds en mon dialecte:

J'ai du confondre avec ta soeur,
La jolie fille qui sur l'heur
Pointa le canon de son arme
Sur sa tempe pleine de charme

Avec mes confrères démons
Nous écoutons là ta chanson:
"Pauvre fillette !" rions-nous
"Qui confondit l'Eden et ce vieux trou"

Il a pour nom l'Enfer, ne t'en déplaise,
Et c'est le lieu de notre diocèse...
Viens quand tu veux, ô Fine Lune,
Tu as ta place dans nos lagunes !

Merci de m'acceuillir dans tes sombres lymbe
Mais je ne pense pas pouvoir devenir ainsi l'une de tes semblable
meme si mon coeur s'est noirci
meme si mon ame c'est durci

C'est par amour que je pleure
et par dévotions de je demeure
Encore ici
et en vie

Car j'espere encore retrouver
celui que j'ai jadis aimer
Mais l'espoire disparait
et mon etre en sent les contre fait

Je croit mon noir ami
que le temps ne m'est plus permi
Et vous retrouver en enfer
Serait pour moi une nouvelle aire

Je serait aimante
ou bien amante
de cette désse que l'on apelle pa a tord
la mort....

J'en met un (nul je suis au courant )

L'hiver est une saison blanche,
Dicton qui ne me dérange,
De cette couche de neige épaisse,
Glisse la vie en mettent fin au désastre,
Que tout toujours se casse...

On dit que le printemps est la délivrence,
Pour moi ca n'a guère d'importance,
Les fleurs naisse par milier,
Sur les terres au temps leger...

Un jour l'on m'a affirmé,
Que l'été était signé,
Du mot aimer...
Que rien ne s'arrête cette saison,
Mais qui donc a réson ?

Un jour compris,
Quand automne tout se détruit...
Tout se fanne,
Tout se déchire,
Comme une ame pour hair...

Et vite l'hiver reprend sa place,
Recommencent sont désastre...

Un jour ma merveille
Tu sera plus vieille
Tu auras mon age
Comme c'est etrange

Tu deviendras femme
Ma petite flamme
Peut etre demain
Ta main et ma main

Seront-elles unies
Ou bien désunies?
Me haïras-tu
Ou m'aimeras-tu?

Je ne le sais pas
De plus tout cela
Je veux l'ignorer
Car je veux t'aimer

Les des Boires de Gurdil...

Courant a travers les fougeres
il arriva, pres d'un vilage humain.
Bien sur, qu'on y vendait d'la bière...
mais aucun homme ne voulais servir un nain!

Gurdil massacra le patron
de la taverne a coups de tabouret
Et il rentra a la maison...
et de la mine il ne repartit jamais!

Dixit Naheulbeuk

Oh Fine Lune, comme tu sais me plaire,
Et comme je suis ravi, de te voir aux Enfers.
Laisse moi te guider dans les cercles, ô belle âme noire,
Et nous serons amants pour l'éternité, dans l'antre des déboires...

Mais qui sont ces tâcherons
Qui nous polluent l'horizon ?
Dégagez la vue sombres hurluberlus
Ou je m'occuperai moi-même de vous manger tout crus !

Ô Fine Lune, poursuis je te prie
Ton chant qui râvit mon coeur tout fletri
Je suis tout à toi, guide moi comme je te guide,
Ensemble poursuivons les traces de Virgile et d'Ovide !

Ô toi tout cuit
Dont les oreilles de cancre
Qui brillent dans la nuit
...

PS... Désoler, mais vu le sujet, soyez po étonner que l'on ne trouve rien de flateur a dire... sa fait 3h que je m'escrime a essayer de sortir quelque chose de potable sur ce truck, le machin là, avec un carractère de cochon. Non mais vous croyez que c'est facil de parler d'une chose qui est vide de sens et dont l'humour rivalise avec celui d'un muet qui essaye de raconter une blague... Non sans déconner rien que pour mon essaye je devrait recevoir l'Aerys d'or de la meilleur tentative desesperer.
(et vlan dans les dents tout cuit... a toi la balle. )

Vers Les Premières Nations

Intro :

j'aimerais qu'a jamais tu te souviennes
de tout ce que l'on a partagé
nos joies, nos découvertes et nos peines
les mots, le silence, les heures passées

je ne sais si ce n'est qu'un beau rêve
mais je sent qu'un vent nouveau se lève
qui viens murmurer de toujours garder cet espoir
et qui viens à nous, de changer la fin de l'histoire...

Refrain :

Si tout les peuples pouvaient s'unir
affin qu'ensemble, on puissent écrire
un nouveau livre qui pourais dire
que tout les hommes ont sûs offrir
s'qu'il y a de plus beau, et de meilleurs
pour que résonne dans tout les coeurs
pour pouvoir crier, au monde entier
leurs besoins d'aimer, de liberté!!(Couplet1)(Couplet2)(couplet final)

Couplet 1 :

et, je saurais t'apprendre, les secrets de mon pays
tu pourras m'apprendre aussi
finit les guerres, nous seront amis
je t'appellerais mon frère!!(Refrain)

Couplet 2 :

Et, ce jour là seulement, retrouvant ton coeur d'enfant
ce seras comme la première neige, un air de printemps
le début d'un tout nouveau temps, un recommencement
pour les prochains deux mille ans!!

Couplet final :

pouvoir crier au monde entier notre liberté!!!!

(ouff! ca défoule, la poésie!! )

Breizy a écrit:

et vlan dans les dents tout cuit... a toi la balle

Tu t'enfonces très bien tout seul, mon lapin...

Enfin puisque tu me tends le bâton pour te faire battre je ne vais pas me gêner !

Vacances:

Breizy et son cochon furent bien inspirés
De nous laisser tous ces derniers temps respirer.
Or c'est avec horreur que nous les vîmes récemment,
Revenir tous deux souriant niaisement.

Qu'importe me dis-je, que la chasse reprenne,
L'exercice me manquait, je ravale ma peine,
Et considère le bon côté des choses:
J'ai dans mon point de mire un joli cochon rose !

ouais!!! vive les cochons roses!!!

Laissez Chonchon trankil! t'es lache Corbo de t'en predre a des bestiaux sans defence!!

(vous savez que vous êtes des marrants ? ^^ OKi je me tais... bravo link ! ^^)

Je m'en reviens d'un long voyage
Que je n'ai jamais entrepris jusqu'avant,
Un voyage en travers des âges
Juste pour dire que chacun d'entre vous
Dans ce monde compte énormément
Et seul on avance pas beaucoup...

J'ai essayé de vivre sans personne
Mais un jour dans votre tête
Une amère petite voix résonne :
"Qu'est ce que tu peux être bête !
Comment tu veux survivre
Alors que tu ne fait que souffrir ?"

J'ai relevé la tête et elle n'est pas encore
Tranchée à l'heure où chacun sort,
J'ai vu l'amour des gens rayonner
Et j'ai cessé de seulement espèrer
J'ai vécu et j'ai découvert
La vie un soir d'hiver.

Elle se cachait sous la racine de mon âme
Et attendait simplement que tombent les armes,
Que cessent les larmes
Qui tant désarment...

Ho cher corbo
Je te guiderait de ma voix
et chaqu'un de mes mots
n'aura d'attention que pour toi

Sache que meme si c'est marouffle
nous gache nos déclations sombre
je reprendrait mon souffle
et les plongerait dans mon ombre.

Cette ombre qui s'étire
et fait ainsi disparaitre
et dépérire
toute ces hunble traitre

a la noirceur céleste
de notre maitre
Et telle une mort funeste
m'emparerait de leurs etre

Corbo je ne veux plus que ta présence
pour oublier ton absence...

On m'a jamais fait une déclaration comme ça, suis trop émuuuu...

Tiens, c'est pour toi:

Ben bah... j'vais m'auto faire un poeme de presque amour a moi meme puis que personne il m'en fé...

Moi, les nains transexuels c'est pas mon goût

...

((( exelent Bleys )))

de rien corbo... j'aime trop faire des poeme avec toi et c'est un vrai plaisir...

Ô muse du mal, ô nouvelle compagne,
Tu ravives mon amertume, et mon antique hargne.
Mon coeur de ténèbre renaît à ton approche,
Suis moi, prenons la barque, cachée sous cette roche.

Laisse moi t'emmener sur les jolies eaux du Styx,
Ô ma succube, démone aux yeux d'onyx,
Ensemble flânons sur ce cercle d'accueil,
Rions de ce passeur, qui tourne à nous son oeil.

N'aie crainte Fine Lune, Charon est mon ami,
Ces fluides qu'il garde, il me les a promis.
Contemple tranquillement ces berges encombrées
Par la foule de ces âmes, à tout jamais damnées...

Ho corbo dous compagnions sombre
tendre etre funeste
Je regarde ce nombre
d'ame en peine que je déteste

Par le simple existance il nous dérange
et par leur respirations nous offence
J'aimerait leurs rompre la gorge
et détruire ses etre sans déffence

Mais je préfére me tourner
pour te comtempler
pour t'aimer
et t'honorer d'un baiser

Mes levres froide vont doucemant s'apliquer
sur ta joue froide et a peine roser
les miennes définitivement empourprer
je m'écarterait timidemant pour m'apaiser

Me délectant du paysage
je sourirait de ne pas etre sage...

J'aime beaucoup tes poèmes Fine Lune !

merci alana

de rien

MJ 22 a écrit:

Les des Boires de Gurdil...

Courant a travers les fougeres
il arriva, pres d'un vilage humain.
Bien sur, qu'on y vendait d'la bière...
mais aucun homme ne voulais servir un nain!

Gurdil massacra le patron
de la taverne a coups de tabouret
Et il rentra a la maison...
et de la mine il ne repartit jamais!

Dixit Naheulbeuk

Vive naheulbeuk,einh,MJ...

Aniky a écrit:

MJ 22 a écrit:

Les des Boires de Gurdil...

Courant a travers les fougeres
il arriva, pres d'un vilage humain.
Bien sur, qu'on y vendait d'la bière...
mais aucun homme ne voulais servir un nain!

Gurdil massacra le patron
de la taverne a coups de tabouret
Et il rentra a la maison...
et de la mine il ne repartit jamais!

Dixit Naheulbeuk

Vive naheulbeuk,einh,MJ...

Dit... y a marquer quoi entre les eux petite tête?

"Dixit Naheulbeuk "

Coupé/collé

bon, vous allez dire, c'est pas un poème, mais il est tard et je suis plus en possession de toutes mes capacités

Minuit à 7h du mat'
P'tite ballade
Oh malade
Tiens ta langue
Range ta lame
Ne rap pas là
Mais la salope est là
Grimpe à l'arbre
Hop et là
Imparable
Topez là
Fou comme ça sert à rien Madame
Plus insomniaque que joueur or paire de pocker
J'reste en décalage et s'agit-il que d'horaire
Du crépuscule à l'aurore
Fais divers à l'honneur
Cafard d'os chasse quelque chose à l'odeur
1h du mat'
Dehors déjà plus beaucoup d'monde
2h du mat'
Surtout des flics qui font leur ronde
3h du mat'
Les zonards cherchent des vagabondes
4h du mat'
Eh connard j'ai pas vu ta tronche
A 5h du mat'
Parait qu'tu fais l'mignon
A la sortie des boites
Parait aussi qu'tas des millions
Moi à 6h du mat'
J'entends v'nir les camions
Ceux qui nettoient la rue
Et les travailleurs qui s'en vont
...
"dixit : don choa le roi, link sale petit morveux! "

"dixit : don cho pour les intimes"

???